Image : Cycle de la matière organique
La matière organique n’est pas un composant immuable du sol.
Au contraire, elle est en perpétuelle transformation.
Elle est produite et dégradée en permanence : on parle de cycle de la matière organique.
Ce cycle est tributaire des apports de matière organique au sol et des vitesses de transformation, elles-mêmes dépendantes de la nature du sol, du climat et des modes de gestion des sols.
Image : Cycle de l'eau
Le cycle de l'eau (ou cycle hydrologique) est un modèle représentant le parcours entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou de vapeur d'eau sur Terre : les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eaux souterraines et les glaciers.
Le « moteur » de ce cycle est l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau, entraîne tous les autres échanges.
Image : Cycle des roches
Les roches forment la croûte terrestre, elles se définissent par les minéraux qui les constituent, par la façon dont elles se sont mises en place, et par les mutations qu'elles connaissent au fil des millénaires.
Car, au-delà de toute apparence, les roches sont en perpétuel mouvement.
"Rien ne se perd, rien ne se crée" : l'érosion des roches éruptives ou massives, en fait naître d'autres (roches sédimentaires) qui vont s'enfouir et se fondre en roches métamorphiques.
Elles viendront nourrir le magma qui donnera naissance à de nouvelles roches éruptives.
Un gigantesque cycle dont les lois physiques et chimiques sont immuables.
Image : Cycle de l'eau
Le cycle de l'eau (ou cycle hydrologique) est un modèle représentant le parcours entre les grands réservoirs d'eau liquide, solide ou de vapeur d'eau sur Terre : les océans, l'atmosphère, les lacs, les cours d'eau, les nappes d'eaux souterraines et les glaciers.
Le « moteur » de ce cycle est l'énergie solaire qui, en favorisant l'évaporation de l'eau, entraîne tous les autres échanges.