Image : le tableau
Le tableau périodique des éléments représente tous les éléments chimiques, ordonnés par numéro atomique croissant et organisés en fonction de leur configuration électronique, laquelle sous-tend leurs propriétés chimiques.
Son invention est généralement attribuée au chimiste russe Dmitri Mendeleïev, qui construisit en 1869 une table différente de celle qu'on utilise aujourd'hui1 mais similaire dans son principe, dont le grand intérêt était de proposer une classification systématique des éléments chimiques connus à l'époque en vue de souligner la périodicité de leurs propriétés chimiques, d'identifier les éléments qui restaient à découvrir, et même de pouvoir prédire les propriétés de ces éléments alors inconnus.
Le tableau périodique a connu de nombreux réajustements depuis lors jusqu'à prendre la forme que nous lui connaissons aujourd'hui, et est devenu un référentiel universel auquel peuvent être rapportés tous les types de comportements physique et chimique des éléments.
En novembre 2014, sa forme standard comportait 118 éléments, allant de 1 H à 118 Uuo.
Image : Coulées de débris, cônes et terrasses en aval de Sost
Les éboulis sont formés par un ensemble de fragments rocheux déplacés par gravité et accumulés en cônes, talus ou nappes d'éboulis au pied des versants ou des abrupts rocheux.
Ces dépôts ont la forme d'un cône s'ils sont issus d'un couloir d'érosion concentrant leur cheminement vers le bas.
S'ils sont contigus, ils s'étalent en nappe et l'on parle de tabliers d'éboulis (ou nappes d'éboulis).
Dans tous les cas, leurs pentes sont souvent très fortes (moyenne autour de 32°) et peuvent aller jusqu'à plus de 40° sur granite, du fait de la rugosité et de la grosseur des éléments.
Les matériaux les plus gros, entraînés par leur poids et par la vitesse acquise lors de la chute, vont généralement plus loin que les petits.
C'est le seul exemple de classement de ce type, si bien qu'on ne peut confondre les cônes d'éboulis avec les autres cônes d'accumulation, surtout si l'on tient également compte de la pente topographique et des dimensions de la forme.
Image : Vastes voiles d'éboulis dans le Valle Hermoso (Andes de Malarguë, Argentine)
Les éboulis sont formés par un ensemble de fragments rocheux déplacés par gravité et accumulés en cônes d'éboulis, talus ou nappes d'éboulis au pied des versants ou des abrupts rocheux.
Ces dépôts ont la forme d'un cône s'ils sont issus d'un couloir d'érosion concentrant leur cheminement vers le bas.
S'ils sont contigus, ils s'étalent en nappe et l'on parle de tabliers d'éboulis (ou nappes d'éboulis).
Dans tous les cas, leurs pentes sont souvent très fortes (moyenne autour de 32°) et peuvent aller jusqu'à plus de 40° sur granite, du fait de la rugosité et de la grosseur des éléments.
Les matériaux les plus gros, entraînés par leur poids et par la vitesse acquise lors de la chute, vont généralement plus loin que les petits.
C'est le seul exemple de classement de ce type, si bien qu'on ne peut confondre les cônes d'éboulis avec les autres cônes d'accumulation, surtout si l'on tient également compte de la pente topographique et des dimensions de la forme.
Image :Tamis de différentes mailles
Un tamis est une grille de maillage plus ou moins fin, servant à trier les particules solides, fixée sur un cadre.
Le tamisage se fait par voie sèche (passage des particules plus fines à travers les mailles par secousses) ou par voie humide (entraînement des particules plus fines par l'eau). Ce dernier procédé est utilisé dans l'orpaillage.
C'est l'outil indispensable pour déterminer la granulométrie.
On peut aussi citer les tamis vibrants utilisés par exemple en forage pour éliminer les déblais de la boue.
Se rapportant à Tamis
Le tamisage est le passage d'un produit solide ou d'une suspension au tamis pour réaliser la séparation et éventuellement l'analyse granulométrique de certains éléments.
Par exemple : le tamisage des déblais permet d'éliminer les fines
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